Etude : quel reste à charge pour les personnes ayant recours à l’aide humaine ?
L’étude montre que le système de protection sociale limite les restes à charge liés aux soins des personnes qui recourent à laide humaine
L’étude montre que le système de protection sociale limite les restes à charge liés aux soins des personnes qui recourent à laide humaine
Ce jeudi 28 mars, Dominique Libault remettait à Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé le rapport issu de la Grande concertation nationale sur le Grand âge et l’autonomie qui préfigure la réforme à venir. Pour aller à l’essentiel, le Pôle vous propose le détail d’une trentaine de propositions du Rapport Libault en lien avec le domicile.
Grâce à l’enquête Vie quotidienne et santé (VQS) réalisée par la DREES en 2014, la perte d’autonomie des personnes âgées vivant à domicile peut être comparée entre les départements français (hors Mayotte), pour divers indicateurs de limitations fonctionnelles, restrictions d’activité, ou recours à des aides professionnelles ou de l’entourage.
La DREES publie, en février 2019, les principales caractéristiques de l’aide de l’entourage et des professionnels pour la vie quotidienne.
La DRESS publie en mars 2019, les résultats de l’enquête trimestrielle sur l’APA à domicile en 2016 et en 2017. Les principaux éléments de l’étude sont disponibles dans cet article.
D’après cette étude, les structures de l’aide et des soins à domicile gênèrent un gain socio-économique d’au moins 1,5 milliard d’euros au profit de l’État et de la collectivité